Armand Marc succède à son père à la direction de l’entreprise éponyme, située au 118 rue Anatole France à Lambézellec. En 1931 il intègre la loge maçonnique des Amis de Sully à Brest. A partir de 1932, il est administrateur du bureau de bienfaisance de Lambézellec et sous l’occupation il crée la première caisse de secours en faveur des prisonniers en Allemagne. Il devient président du syndicat des entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics. Il crée également une caisse de secours d’inter-entreprises qui devient à la Libération la Caisse de solidarité du bâtiment et des travaux publics.
En 1943, il est contacté par l’ingénieur Yves Mindren, qu’il connait par la franc-maçonnerie. Ce dernier demande à Armand Marc d’accepter d’avantage de chantiers de BTP pour l’armée d’occupation, en particulier ceux sur le Mur de l’Atlantique, afin de pouvoir subtiliser des plans au profit de la branche Troène du réseau Ronsard.
Durant une dizaine d’années, il est administrateur de la Caisse des allocations familiales. En 1955 il est fait chevalier de l’ordre des palmes académiques en récompense des services rendus à l’Education nationale. Chevalier de la Légion d’Honneur en décembre 1960, président de l’A.S. Brestoise. En 1959 il fonde l’ASSEDIC de Bretagne, président jusqu’en 1961 et à nouveau président de 1963 à 1965. Il est officier de l’ordre national du Mérite en janvier 1971.
La sépulture d’Armand Marc se trouve dans le cimetière de Saint-Marc à Brest [Carré 1, Rang 3, Tombe 11]