Julien Pinaquy réside avec sa femme Marie Thérèse Castagnet et ses deux enfants au 39 rue Bruat à Brest. Il est entrepreneur staffeur décorateur à Brest, son chantier est au 13 rue de Poulic al Lor.
En novembre 1942, Julien et son fils Maurice Pinaquy sont contactés par Gilbert Garbe, ouvrier de l’arsenal de Brest, qui les recrute dans le réseau de résistance Confrérie Notre-Dame. Ce réseau se donne pour mission, en 1942 à Brest, de récolter des informations sur les mouvements des sous-marins allemands et de les transmettre, via des centrales d’émissions radio, au B.C.R.A. Nous ignorons, pour le moment, la nature des services rendus par Julien Pinaquy dans la clandestinité.
Julien Pinaquy est inhumé en juillet 1981 au cimetière de Sabaou à Biarritz.