Après un parcours complexe dans la Résistance, le jeune Michel Villot tente avec des connaissances, de passer en Espagne pour gagner ensuite Gibraltar pour s’enrôler dans les Forces françaises libres (F.F.L). Arrêté dans le train entre Bordeaux et Biarritz, il passe plusieurs mois en détention en France avant d’être déporté en octobre 1943, depuis Compiègne vers l’Allemagne. Le Brestois passe par le K.-L. Buchenwald où il reçoit le matricule N°31005, avant d’être transféré au camp de Dora. Il y succombe, le 7 mars 1944 à l’âge de 19 ans.

À titre posthume, il est décoré de la médaille de la Résistance française en 1955.