François Cariou est pompier quand il épouse Yvonne Saos (1906-1989), le 7 septembre 1937 à Brest. Le jeune couple réside alors au 3 rue de l’Isle de Kerléau. Au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, il n’est pas mobilisé dans l’armée de par sa profession.
En mai ou septembre 1942, son collègue pompier Raymond Palu lui propose de fournir des informations sur l’occupant. Francis Cariou accepte et entre alors en résistance, dans ce qui va devenir le Groupe Rubis. Il profite alors de son emploi pour recueillir des informations sur les positions et activités allemandes. Ces informations sont rassemblées et transmises au réseau Confrérie Notre-Dame (C.N.D).
Son activité, durant le siège de la ville en août et septembre 1944, n’est pas connue. Il semble être resté dans la ville à son poste. Il en aurait profité pour effectuer quelques sabotages sur des lignes électriques.
La sépulture de François Cariou se trouve dans le cimetière de Kerfautras à Brest [Carré 51 Rang 03 Tombe 14]
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