Vincent Ollivier Marie Pengam est requis par Service du Travail Obligatoire (S.T.O) en juin 1943. Réfractaire à l’idée de travailler en Allemagne pour l’occupant, il ne répond pas à la convocation et passe dans la clandestinité. Vers la fin février 1944, il rencontre Philippe Prédour, résistant de Gouesnou.
Ce dernier le recrute alors le mois suivant dans son groupe de résistants. Vincent Pengam se livre alors à divers petits sabotages jusqu’au début de l’insurrection F.F.I, début août 1944. Au déclenchement des opérations militaires, son groupe, devenu section, incorpore la Compagnie F.F.I de Plabennec. Il participe aux combats de la Libération de son canton et poursuit avec son unité jusqu’à la reddition complète de la poche de Brest. Vincent Pengam est démobilisé des F.F.I au début d’octobre 1944 et regagne son foyer.
Après guerre, il devient chauffeur automobile.